Les formations après le bac professionnel

Après le bac professionnel, de nombreux étudiants souhaitent se spécialiser en optant pour une formation courte en bac+1. Pour cela, il faudra s’inscrire dans la continuité du bac pro. Les bacheliers acquerront une qualification supplémentaire, la Mention Complémentaire. Celle-ci bénéficie d’un classement de niveau IV ou niveau V pour les titulaires d’un CAP. Pour le bac+2, assurez-vous de vous inscrire dans un BTS en continuité avec le bac pro. Cela dit, il faut tout de même rattraper les matières générales en choisissant un cursus de 3 ans ou en optant pour des cours du soir. Si vous désirez poursuivre vos études en bac+3 ou bac+4, sachez qu’il n’y a pas de sélection. Cela dit, les cours et le tutorat sont recommandés pour renforcer votre culture générale. Concernant le bac+5, l’admission se fait par voie de concours ou sélection de dossier. Afin de pouvoir intégrer une grande école, vous devrez d’abord passer par une classe préparatoire.

Les autres possibilités après le bac pro

Si vous avez pensé à arrêter vos études, il existe quelques alternatives. Ceux qui ont une vocation civique peuvent envisager de faire partie de l’armée. De cette manière, ils bénéficieront d’une formation et auront sans doute du travail. A ce sujet, quelques domaines, tels que la maintenance, l’électronique et l’électricité sont très recherchés. Sinon, le bac professionnel permet également de participer à certains concours comme celui de la fonction publique. Que ce soit en catégorie B ou encore C, sachez que les candidats sont tous diplômés et que la concurrence semble très rude. Cela dit, il est toujours possible de vous présenter aux concours et de bien les préparer. Concernant les métiers, vous aurez le choix entre le surveillant pénitentiaire (catégorie C), le rédacteur territorial et le gardien de la paix (catégorie B).

Le métier de développeur

Il existe trois types de développeurs : informatique, web et mobile. Le développeur informatique se charge de construire des programmes informatiques. Il crée un projet et le mène à terme pour ses clients. Pour cela, il doit connaitre les langages informatiques du bout des doigts. Il peut aussi faire un suivi technique d’un programme et ainsi faire la tâche du technicien de maintenance. La qualité principale d’un développeur informatique est la grande rigueur, car tout doit être très précis. Le développeur web quant à lui s’occupe de créer des sites web et des logiciels. C’est une personne qui connait bien les codes, les balises et qui maitrise le HTML. Il peut créer un site internet clé en main ou seulement la partie front end ou juste la partie back end du site. C’est un métier très demandé. Puis, il y a le développeur mobile ou développeur d’application pour smartphone qui se charge de créer des applications intégrées sur tablette, smartphone et les réseaux sociaux. Les formations pour devenir développeur sont pareilles. Il faut avoir un BTS en informatique ou un DUT informatique et connaitre les codes de développement.

Le métier de webmaster

Le webmaster est celui qui gère le site internet. Il s’occupe du bon fonctionnement du site au quotidien. Il repère les problèmes rencontrés par le site et les répare. Il peut aussi animer le site afin de le faire évoluer. En plus d’avoir des compétences techniques pointues dans ce domaine, il doit aussi avoir une bonne notion rédactionnelle, car il est amené à écrire ou modifier les contenus du site. Il peut aussi faire la conception initiale du site, mais pour cela il doit avoir une bonne connaissance des langages informatiques. Pour être webmaster, il faut obtenir un DUT métier des multimédias et de l’Internet ou un BTS service informatique aux organisations.

Privilégier le travail en groupe

Pour faire travailler la classe en équipe, l’enseignant peut subdiviser les élèves en trois groupes ou plus. Vous pouvez apparier les élèves comme suit : un premier groupe pour les étudiants ayant un niveau de compréhension plus avancée, un deuxième groupe pour les élèves ayant mal assimilé la leçon et un troisième groupe pour ceux ayant des difficultés d’apprentissage. Avec cette méthode, chaque élève peut apprendre à son rythme.

Avoir des objectifs pédagogiques clairs

Définir des objectifs pédagogiques clairs aide la classe à bien réussir l’année scolaire. En effet, les objectifs vont efforcer l’enseignant et les élèves à mettre leur énergie pour atteindre les résultats escomptés. Pour ce faire, le professeur peut demander aux apprenants de construire une sorte de bilan des choses apprises en classe afin de mettre en place des objectifs clairs et précis. Toutefois, l’enseignant doit encore tenir compte des points forts et des faibles des élèves avant de formuler un quelconque objectif.

Faire des mini-leçons

Avec les mini-leçons, il est plus facile de différencier l’apprentissage. Dans la pratique, c’est tous les jours qu’on révise les mini-leçons durant 10 à 15 minutes. Lecture d’un livre, lecture à haute voix, mémorisation des mots… Ces activités sont l’occasion pour les élèves d’apprendre à lire, à écrire ou même à surmonter des difficultés d’apprentissage.

Evaluer de manière différenciée

Dans un système éducatif équitable, chaque élève a le droit d’être évalué de manière différenciée. En effet, tous les étudiants n’ont pas les mêmes rythmes d’apprentissage. Par exemple, l’enseignant peut évaluer un élève à l’écrit et un autre qui est dysgraphique à l’oral. Il est important d’aménager le temps d’évaluation par rapport au rythme de chaque élève.

Trouver un équilibre entre travail d’équipe et individuel

Nous ne sommes pas contre le travail de groupe. Néanmoins, il y a des moments durant lesquels les élèves doivent travailler individuellement. Cela permet entre autres de voir les étudiants qui sont plus à l’aise en travail individuel et les élèves qui apprennent mieux en équipe. L’enseignant doit savoir alterner les deux.

Le métier de photographe professionnel

Pour devenir un photographe professionnel, il faut créer un statut d’entreprise. On dénombre plusieurs types de photographie : les photographies de mariage, d’événements, de portraits, de paysage… Ce qui nécessite le plus de travail est la photographie de mariage. Il faut savoir bien répartir le temps et capter chaque moment. La prise de photographie, contrairement à ce que l’on pourrait penser, n’est pas ce qui occupe le plus un photographe. Il doit aussi se concentrer sur différentes tâches comme le développement des photos, la création et production des produits vendus (album, book), le côté administratif, la relation client et le marketing en général. Il faut aussi savoir que, comme toute activité, il y a une période creuse dans le métier de photographe professionnel. Donc, il faut savoir anticiper et bien gérer tel un chef d’entreprise.

Les techniques à maîtriser pour devenir photographe professionnel

Bien plus qu’un don, il faut maîtriser différentes techniques pour devenir photographe professionnel. Il faut notamment maîtriser les matériels utilisés dans le domaine et les b.a ba de la technique photo. Connaitre le mode de fonctionnement de chaque appareil photo est aussi important, car ainsi vous pouvez facilement le manipuler. Vous pourrez savoir quand jouer avec la vitesse, les iso et l’ouverture pour maitriser la luminosité. Puis, la netteté de l’image est essentielle, donc il faut aussi savoir faire les mises au point en fonction de l’endroit. Ensuite, il est aussi important de savoir manipuler les logiciels de traitement d’image comme Lightroom, Photoshop et Aperture. Notons que le métier photographe évolue avec l’expérience. De ce fait, au fur et à mesure des séances et des reportages, vous acquérez plus de rapidité et finesse.

Les outils essentiels à avoir pour devenir photographe professionnel

Être photographe professionnel nécessite quelques investissements. Dans un premier temps, il faut disposer d’un espace de travail, par exemple d’un studio ou d’un bureau. Ensuite, il faut acheter au moins deux appareils, car par exemple pour un mariage où tout est spontané, vous devez capter chaque instant important. Alors, s’il y a une panne d’appareil, vous devez avoir un autre pour le remplacer tout de suite. Puis, il vous faut aussi des optiques adaptées. Par ailleurs, vous devez avoir un ordinateur assez puissant avec une bonne carte graphique et un processus récent pour le traitement d’image. Vous aurez également besoin d’un logiciel de traitement d’image à jour ainsi qu’une sonde de calibrage essentielle pour paramétrer l’écran de l’ordinateur et afficher les couleurs réelles de la photo. Il ne faut pas oublier les équipements pour le flash et les lumières artificielles. Enfin, vous devez aussi disposer de plusieurs cartes mémoires ainsi que de batteries de rechange pour alterner les séances.

En classe, la place des visualiseurs

Le visualiseur est un outil qui prend une place de plus en plus importante en classe hybride. Pour rappel, cela fait des années que les classes hybrides existent à l’université, c’est-à-dire des classes conjuguant la présence physique et des cours en ligne. Mais avec la pandémie du Covid-19, le concept s’est étendu également au lycée, au collège et à l’école élémentaire. Une classe hybride consiste donc en des cours et activités en présentiel et en distanciel. Pour assurer la continuité des cours, les professeurs doivent se doter d’outils modernes et technologiques, dont le visualiseur, les écrans interactifs et les vidéoprojecteurs. La pertinence de ces outils n’est plus à faire, surtout dans les conditions actuelles et leur efficacité est avérée. Évidemment, il faut s’assurer de la compatibilité d’un écran interactif avec le visualiseur ou le vidéoprojecteur utilisé, mais en général, les modèles récents sont tous compatibles. Le visualiseur de documents permet de faire le lien entre le papier, les livres, les documents et le numérique. Certaines marques de ce genre de visualiseur possèdent un micro qui permet d’enregistrer la voix du professeur, pratique pour diffuser les cours aux élèves qui les suivent à partir de chez eux. Des visualiseurs enregistrent également des images qui sont ensuite partagées sur un écran interactif, en même temps que la voix est diffusée. En l’état actuel des choses, les visualiseurs sont devenus, automatiquement, les outils incontournables pour les classes hybrides.

Visualiseur en formation et en entreprise

Les visualiseurs sont également devenus des outils phares, notamment les visualiseurs mobiles dans une salle de formation, ils connaissent un succès grandissant, surtout en raison de leur faible poids, ce qui s’avère être pratique. Un formateur n’a qu’à glisser le sien dans son sac et il peut facilement le transporter et se déplacer avec, de groupe en groupe, d’entreprise en entreprise, etc. Pourtant, bien que plus léger et d’une moindre dimension, il faut reconnaître que les visualiseurs mobiles présentent les mêmes fonctionnalités et les mêmes qualités de résolution que les plus grands. Naturellement, une comparaison s’impose avant d’acheter un visualiseur et ce principe s’applique aussi bien pour les visualiseurs de documents et les visualiseurs mobiles que les visualiseurs photo et les visualiseurs de bureau. En entreprise, on utilise habituellement des visualiseurs de plus grande qualité, à très haute performance, très complets et dotés d’une plateforme rétro éclairée permettant de projeter des radios, des transparents, etc. Ce type de visualiseur peut être utilisé avec ou sans PC, avec un grand écran tactile ou un tableau interactif. Simples à manier, les visualiseurs pour entreprises sont dotés d’un capteur vidéo de grande qualité, pour des vidéos d’une netteté irréprochable.

Le métier de psychologue

Le métier de psychologue offre différentes possibilités de spécialisations comme le psychologue du travail qui exerce son métier dans les entreprises. Il a pour mission de recruter et de sélectionner le personnel tout en garantissant leur aptitude. Aussi, il aide le personnel à gérer leur stress, ainsi que les conflits internes. Il y a aussi le psychologue de l’éducation qui est un professionnel contribuant à la réussite et au bien-être psychologique des élèves. Il exerce son métier auprès des lycées, des collèges, des universités… Par ailleurs, il existe le psychologue clinicien qui utilise différentes méthodes thérapeutiques et qui intervient auprès des enfants et dans les services de psychiatrie à l’hôpital. Dans certains cas, il peut être appelé en tant qu’expert et consultant auprès de la justice.

Études et formation pour devenir psychologue

Pour devenir psychologue, il est impératif d’avoir une licence en psychologie ainsi qu’un master dans le domaine. Le titre de psychologue n’est donné qu’après une formation de plus de 5ans, c’est-à-dire un bac+5. Pour suivre une formation en psychologie, vous pouvez choisir l’école de psychologues praticiens ou EPP. Si vous voulez devenir psychologue scolaire, vous devez suivre la même formation, mais en plus, vous devez passer le concours de recrutement de psychologues de l’éducation nationale et faire une année de stage au sein de cet établissement. Puis, si vous voulez devenir psychothérapeute, vous devez suivre au préalable une formation en psychopathologie clinique avec un niveau master. La formation des psychanalystes est assurée par les écoles de psychanalyse. En outre, vous devez savoir qu’un psychiatre doit également avoir un diplôme en médecine. À noter que la carrière d’un psychologue peut beaucoup évoluer, car il peut ensuite choisir de devenir formateur ou consultant auprès des tribunaux. Il peut aussi pratiquer son métier en libéral. À savoir qu’un psychologue formateur est un spécialiste de la formation professionnelle d’adulte, de conseil en orientation et d’aide à la réinsertion des personnes en difficulté.

Chauffeur routier ou routier

Son véhicule doit peser plus de 3,5 tonnes et celui-ci doit être uniquement conçu et utilisé pour le transport de marchandises et à la livraison de fret. Il est également responsable de la supervision du chargement et du déchargement des marchandises et s’assure de l’arrimage de celles-ci et leur surveillance tout du long. Il y a certaines démarches administratives qui incombent également au conducteur routier, tels que les documents du bord et les papiers réglementaires, les bons de livraison etc. Si le métier vous intéresse, vous avez le choix entre travailler en indépendant et travailler au sein d’une entreprise de transport.

Au coeur des formations menant au métier de routier

Si vous désirez devenir un conducteur routier, il vous faut obtenir les deux diplômes suivants : d’abord le CAP Conducteur Routier Marchandises qui se prépare en 2 ans après la classe de 3e. Entretemps, vous devriez passer les permis B,C et E. Cette formation porte sur des matières générales telles que le français, les mathématiques et l’histo-géo, mais aussi sur des aspects techniques tels que la préparation d’un transport, la réglementation etc. En fait, le Bac Pro Conducteur Transport Routier se prépare en 3 ans et accessible dès la classe de 3e. La formation s’articule autour d’un enseignement général et d’un enseignement professionnel en rapport avec l’organisation proprement dite d’un transport et la gestion de celui-ci. D’autres formations sont aussi possibles, par exemple le Titre Professionnel de conducteur du transport routier de marchandises sur tous véhicules (CTRMV) ou sur porteur (CTRMP).

Les particularités qui différencient les écrans tactiles des écrans classiques

Contrairement à l’écran d’ordinateur, l’écran interactif est proposé en grand format avec un design innovant. Vous l’aurez compris, l’allure d’un écran tactile interactif est similaire à celle d’un écran plat géant. La technologie intégrée à l’écran interactif lui permet d’être manipulée via un stylet ou un doigt. L’écran tactile géant offre une qualité d’image hors pair. Selon les modèles, les écrans proposés sur le marché peuvent offrir une résolution HD ou une résolution 4K. La présence d’un écran interactif dans les universités permet aux professeurs d’apporter une touche de modernité à leurs cours et faire profiter leurs étudiants d’un confort optimal en matière de visibilité. Les étudiants, qu’ils s’assoient devant ou au fond de la salle, peuvent voir tout ce qui est présenté sur l’écran.

Les atouts des écrans tactiles dans le milieu éducatif

Un écran tactile géant trouve sa place dans les universités. En effet, du fait de la taille et de la résolution de l’écran plat, on peut installer sans problème l’écran dans un amphithéâtre, dans une grande salle. Tous les étudiants peuvent voir sans difficulté les projections durant les cours sans qu’ils aient besoin de s’assoir aux premiers rangs.
L’utilisation de l’écran tactile ne nécessite pas l’installation d’un ordinateur portable supplémentaire. Son autonomie est assurée par son système Android ou par son PC intégré. L’écran peut alors être accroché au mur afin que tous les étudiants puissent le voir aisément.
L’usage prolongé de l’écran ne représente pas de danger pour la santé des yeux, sa luminosité étudiée évite la fatigue visuelle. Les vidéoprojecteurs génèrent une ombre désagréable durant la projection des cours. Avec un écran géant tactile, les étudiants sont à l’abri des gênes occasionnées par les ombres.

Ce que l’écran tactile peut apporter d’autre

L’écran tactile permet aux professeurs de présenter des diapositives de qualité aux étudiants. Ces derniers peuvent aussi le faire pour mieux présenter leurs travaux de recherche à l’assistance. L’écran permet également la modification des diapositives même pendant les présentations.
Les étudiants comme les employés d’une société ont besoin de travailler en commun de temps en temps. Avec un écran interactif innovant, le partage de fichiers entre étudiants ou collaborateurs est possible. Il suffit de bien choisir le logiciel de partage de documents.
Avec l’écran interactif, les cours peuvent également se faire à distance et à n’importe quel moment. Avec la fonction visioconférence, le professeur, même s’il ne peut pas être présent dans l’amphithéâtre, peut quand même donner ses cours d’où il est. Il doit juste avoir une bonne connexion internet.
Le fonctionnement silencieux de l’écran tactile interactif est aussi un avantage de taille. En effet, les vidéoprojecteurs sont assez bruyants. L’écran tactile vous épargne ces bruits.

Quelle mission pour un gardien de la paix ?

La police a pour mission de maintenir l’ordre et la sécurité dans la société. Le gardien de la paix joue un rôle dans la prévention, mais également en répression. Son quotidien consiste à rappeler les bonnes mœurs et les lois en vigueur. Parfois, il lui arrive de procéder à une arrestation, notamment en cas de flagrant délit. Un policier peut être affecté à la circulation, aux enquêtes judiciaires ou au maintien de l’ordre. Il intègre parfois les compagnies républicaines de sécurité (CRS) ou la brigade anti-criminalité (BAC).

Quelles qualités sont requises pour devenir policier ?

Un bon policier sait écouter. Il doit avoir une certaine sociabilité. En effet, les membres de la police doivent constamment résoudre des problèmes ménagers. Ceci dit, les gardiens de la paix devront avoir une bonne résistance physique. Ils ont intérêt à avoir un moral inébranlable face aux détracteurs. Certaines situations demandent de la réactivité, mais également du sang froid. Les risques du métier existent avec des adversaires armés en face. Travailler à des heures tardives ne devrait pas être un souci pour les policiers.

Comment intégrer la police et y faire carrière ?

Le baccalauréat est indispensable pour intégrer la police. Les jeunes qui souhaitent intégrer ce corps de métier doivent avoir entre 17 et 35 ans au début de l’année du concours. Un casier judiciaire vierge de toute mention contraire à l’exercice du métier de gardien de la paix est également requis. Les candidats à l’École de police doivent effectuer leur Journée Défense et Citoyenneté (JDC). Le concours proprement dit comprend plusieurs étapes éliminatoires.

Le métier d’infographiste sans le Bacc

La créativité est à la base même des qualités requises pour devenir infographiste. Ce dernier doit avoir un œil artistique et un sens aiguisé de la beauté. Les techniques peuvent s’apprendre au fil du temps. De plus, l’infographie est un art qui évolue continuellement. Quoi qu’il en soit, un CAP Dessinateur d’exécution en Communication Graphique permet d’intégrer la profession. Ce certificat d’aptitude professionnelle s’obtient après deux années d’apprentissage. Elle est accessible à partir de la classe de 3e au collège. La formation peut se poursuivre avec un BEP en Métiers de la Communication et des Industries graphiques. Ce brevet d’études professionnel précède le bac technique et l’entrée dans les grandes écoles. Parfois, une formation à distance est envisageable. Les diplômes servent pour décrocher un poste, mais il faut beaucoup de compétences pour percer dans le métier d’infographe.

Un cursus universitaire pour approfondir l’infographie

Le bac STD2A ou Sciences et technologies du design et des arts appliqués constitue le bagage idéal pour aller loin en infographie. Après ce baccalauréat technique, il est possible de travailler ou de poursuivre les études supérieures. La Mise à Niveau en Arts Appliqués ou MANAA reste une suite envisageable. Elle ouvre la voie vers d’autres branches de la création numérique. Le brevet du technicien supérieur ou BTS en Communication visuelle devrait aussi aider. Il faudra choisir l’option « graphisme-édition-publicité » ou « multimédia » pour devenir infographiste. Le DUT des Métiers du Multimédia et de l’Internet ou celui des Arts graphiques option Typographie ont leurs adeptes. Un autre diplôme universitaire permet de se spécialiser dans l’animation 3D. Outre les filières en rapport avec l’art plastique, les licences en communication peuvent aussi orienter vers l’infographie.